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Marii Philelphi epigramma ad legentes : Auctoris quod scripta manu sint cuncta putentur /
Fida magis lector quae sine labe legat, /
Quam si pulchra forent elementa, ipsaeque figurae, /
Quae Nicostratae forte fuere manu. /
Nam melius tenuit quae scriberet auctor, habetque /
Maiorem merito iure poema fidem. /
Telos kalon
1
pas de
écriture humanistique cursive ; une seule main
Amyris Marii Philelphi . Poëma deviti et gestisMahometi Turcarum Imperatoris . Lepoëmeprologue est en prose adressé àMahomet II parOthman Lillus , lequel offre ce poëme à l’honneur du sultan, fait par un amiMarius Philelphus . Le mot d’Amyris vient d’Emir : Seigneur. CeMarius Philelphus se fait connoitre dans le 2e chant. Il naquit en1426 àConstance (à Constantinople) . Ce manuscrit paroit écrit par l’autheur, ce que confirme l’épigramme qui termine ce Poëme.
Laur. Mehus, Vita Ambros. Traversar. Camald. p. 376 :(omnium maxime illustre est alterum Carmen de obsidione Constantinopolitana, quod Anconae (an. 1475) subtexuit idem ille Marius. Huius exemplar a Genevensi homine nuper in Italia comparatum, advectumque alio est.
Exemplaire unique, 1470-76.
belle
reliure effectuée dans le duché d’Marinis
pour SenebierSenebier, p. 244AubertAubert, p. 52-53DufourManetti, p. 25
Selon Gagnebin
Une partie de la collection Petau fut achetée en Amyris fut réalisée pour lui. La
Roth Barbara, « Lullin (de Châteauvieux), Ami », dans Dictionnaire historique de la Suisse, vol. 8, Hauterive, 2009, p. 73.
Amyris. Restée inachevée, elle s’arrête au cours du livre IV (soit aux premiers vers de la page avre ?] Ed., « Favre », dans Dictionnaire historique et biographique de la Suisse, t. III (1926), p. 68.Rouiller Jean-Luc, La bibliothèque de La Grange, Ed. La Baconnière / Arts et Bibliothèque de Genève, collection Belles pages de la Bibliothèque de Genève, n° 6, Genève, 2011, p. 14.