Le bifolio en parchemin, remontant à la fin du XIIe siècle, a été réutilisé à une date inconnue comme reliure, ainsi que le montrent les traces de pliure dans la marge inférieure. Il contient un extrait des Tristes, un recueil de lettres en distiques élégiaques qu'Ovide écrivit au cours de son exil. Le texte se suit, indiquant que le bifeuillet se trouvait au centre d'un cahier ; seuls manquent quelques vers du fait de la coupure de la partie supérieure des folios. Il a été acheté par Martin Bodmer en 1958 auprès du libraire Kraus à New York.
En ligne depuis: 13.06.2019
Les deux cartes enluminées appartenaient probablement à un atlas de cartes marines, ou atlas portulan. La première, orientée vers le nord, représente une partie des côtes de l'océan Atlantique et de la mer Méditerranée, de part et d'autre du détroit de Gibraltar, entre les îles Canaries et le nord de l'Italie. La deuxième carte, orientée vers l'ouest, donne à voir les îles de la mer Egée entre la Crête (Candia) et Thessalonique, la Grèce et l'Asie Mineure, où sont situées, de manière anachronique, Troie et Constantinople. Une échelle de latitudes sur la première carte, des échelles de distances graduées près des marges, des lignes de rhumbs et des roses des vents ornées de fleurs de lys accompagnent les toponymes du littoral en rouge et en noir perpendiculairement aux côtes. Leur tracé, très stylisé, accentue les caps et les estuaires et le cartographe a également représenté certains fleuves, mais sans grande précision. A l'intérieur des terres, et localisées de manière assez floue, figurent des vignettes urbaines avec des pavillons armoriés, des montagnes et des arbres. En mer, quelques navires et un animal marin apparaissent sur les deux cartes. Les noms des régions sont inscrits sur des banderoles, ou indiqués en caractères plus grands. Le style particulier du dessin des villes et des décors et la graphie renvoient à la production de Giovanni Battista Cavallini, ou de son successeur Pietro Cavallini, actifs à Livourne entre 1636 et 1688.
En ligne depuis: 12.12.2019
Le théâtre de Térence demeura très apprécié tout au long du Moyen Age, comme en témoigne ce manuscrit, copié en écriture caroline et remontant au XIe siècle, qui conserve des fragments de deux de ses six comédies, Andria et Eunuchus. Ces fragments, de tailles diverses, ont été utilisés entre le XVe et le XVIe siècle comme reliures de registres ainsi que le montrent certaines marques d'usure et de pliures, ainsi que des dates inscrites à côté d'invocations à la Vierge, au Christ ou à saint Thomas.
En ligne depuis: 10.10.2019
Miniature découpée, finement exécutée avec des couleurs variées et lumineuses. La présentation de Jésus au Temple est figurée suivant le récit de l'Evangile de Luc. La Vierge et Joseph tendent l'Enfant au grand prêtre Siméon afin d'obtenir sa bénédiction. Une des deux femmes placée derrière Marie tient dans sa main droite deux colombes qui doivent, selon les prescriptions, être sacrifiées. Dans la main gauche elle porte des bougies allumées, qui indiquent la fête à laquelle est associé l'événement, celle de la Présentation au Temple. Au-dessous de Jésus, trois figures sont agenouillées : une dominicaine et le couple de commanditaires. La scène s'inscrit dans l'initiale N, décorée avec des rinceaux, qui se trouve au début du cantique de Siméon pour la fête de Marie : Nunc dimittis, domine, servum tuum in pace (Maintenant, Seigneur, laisse ton serviteur aller en paix). Les mots visibles au-dessus de l'initiale Intercede pro nobis (Priez pour nous [sainte mère de Dieu]) concluent le chant. Au verso se trouve un extrait de l'interlude liturgique avec le texte Postquam impleti sunt dies purgationis (Quand les jours de purification furent terminés). Le fragment a été acheté en 1978 par le canton de Thurgovie chez Sotheby's à Londres. Il provient de la collection de Robert Hirsch (1833-1877) à Bâle.
En ligne depuis: 12.12.2019
Enluminure découpée d'un luxueux manuscrit. L'Annonciation est représentée dans l'initiale M au début du texte Missus est Gabriel (Gabriel a été envoyé) célébré le 25 mars. Dans un haut cadre rectangulaire orné de motifs géométriques, l'archange Gabriel et Marie se tiennent face à face, chacun placé sous l'une des arcades formées par la lettre M. Gabriel tient un phylactère avec sa salutation AVE GRACIA PLENA (Je te salue, pleine de grâce), devant Marie qui l'écoute. Les hastes verticales de la lettre M se terminent par des feuilles à palmettes qui débordent sur l'espace entourant l'initiale et qui ont été précisément découpées. Sur les feuilles de palmettes à droite se voient les lignes rouges pour la musique, ainsi qu'une seule note. Il s'agit de l'illustration d'un livre de grand format et de haute qualité picturale, avec des couleurs claires et opaques dans des tons roses, verts et bleus finement dégradés. Le texte musical du verso peut se rapporter aux versets 2.2, 4.11 et 4.13 du Cantique des Cantiques. Ce fragment provient du même ouvrage de chœur que l'initiale représentant la mort de la Vierge. Les deux fragments figurent des stations du cycle marial, où T09393 illustre la première phase, T 9394 la dernière. Du point de vue stylistique, ils peuvent être rapprochés de trois folios de la collection de Bastard d'Estang à la Bibliothèque nationale de France à Paris (AD 152G, PL 842-3, AD 150H, PL 51). En 1994, le canton de Thurgovie les acheta tous deux sur le marché antiquaire parisien. Auparavant, ils appartenaient à une collection privée en Suisse.
En ligne depuis: 12.12.2019
Miniature particulièrement grande découpée d'un manuscrit magnifique. Dans l'initiale V du texte Vidi speciosam dédié à la fête de l'Assomption du 15 août, la Mère de Dieu gît sur son lit de mort, entourée par trois apôtres et Jésus qui reçoit son âme sous la forme d'une petite figure féminine. La scène est insérée dans un cadre rectangulaire orné d'un motif géométrique répétitif. De l'initiale V sur la gauche partent trois rinceaux avec des petites feuilles et des rosettes qui sont découpées. La peinture avec des tons bleu et rouge brillants atteint un haut niveau pictural. Le texte du chant sur le verso vient des versets biblique 26-32 de la Lectio prima de l'Evangile de Luc. Le fragment provient du même livre de chœur que la miniature représentant l'Annonciation. Tous deux figurent des stations du cycle marial, où T 9393 illustre la première étape, T 9394 la dernière. Du point de vue stylistique, ils peuvent être rapprochés de trois folios de la collection de Bastard d'Estang à la Bibliothèque nationale de France à Paris (AD 152G, PL 842-3, AD 150H, PL 51). En 1994, le canton de Thurgovie les acheta tous deux sur le marché antiquaire parisien. Auparavant, ils appartenaient à une collection privée en Suisse.
En ligne depuis: 12.12.2019
Fragment d'un folio provenant d'un choral. Deux illustrations rectangulaires superposées sur le bord gauche montrent deux épisodes de la vie de Catherine : dans la partie supérieure, elle refuse d'obéir à l'empereur et tourne son attention exclusive vers Jésus ; dans la partie inférieure est représenté le rapport d'amour spirituel – dans le sens de la Minne – entre Catherine et le Christ. Sur le reste du fragment de parchemin et sur le dos se trouve un texte liturgique composé de notation musicale et de texte. Sous les portées rouges avec notes en noir se trouve la ligne du texte correspondant. Les illustrations ont été réalisées dans l'atelier où a également été confectionné le graduel du couvent des dominicaines de St. Katharinental (Musée national suisse Inv. LM 26117 / Historisches Museum Thurgau, inv. T 41401). Les deux enluminures sont de la même main que celle qui a représenté les deux figures sous l'initiale fol. 179v du graduel. Cet enlumineur se caractérise par des figures fragiles aux gestes vifs, un dessin raffiné des visages, des couleurs ténues et un goût joyeux pour la narration picturale par l'insertion d'éléments originaux. Ce fragment a été acheté en 2011 par l'Historisches Museum Thurgau dans une vente aux enchères à Zurich.
En ligne depuis: 12.12.2019
Vers 1250 Konrad Fleck traduit en dialecte alémanique le roman d'amour « Flore et Blancheflor », écrit par un poète provençal anonyme vers 1160. L'oeuvre entière compte 8'000 vers. Certains fragments d'une copie plus ancienne de la traduction de Fleck sont conservés dans les archives paroissiales de Frauenfeld. Les morceaux de parchemin avaient été utilisés pour la couverture du censier de la prébende de Saint-Michel.
En ligne depuis: 23.06.2016
Ces fragments, découverts en 1931 dans un registre par l'archiviste de Moudon, tirent leur nom du lieu où ils ont été retrouvés. Selon le registre des entrées du service des manuscrits, ils sont parvenus en 1950 à la Bibliothèque cantonale et universitaire – Lausanne. Ils comportent 21 entrées qui décrivent les vertus médicinales de différentes plantes. On ignore le nombre total de chapitres du manuscrit d'origine. Selon Eugène Olivier qui a édité le texte avec Paul Aebischer, il a été copié par un scribe qui n'était pas un médecin praticien, comme en témoignent des fautes de lecture, tels que « sanc » (sang) au lieu de « sint » (graisse).
En ligne depuis: 08.10.2020
Le fragment provenant du scriptorium du monastère de Fulda constitue, avec celui de l'Universitätsbibliothek d'Heidelberg, Pal. lat. 921, un des deux seuls manuscrits connus des Getica de Jordanès, écrit dans une minuscule anglosaxonne (continentale). Il ne s'agit cependant pas d'une partie du feuillet manquant depuis le début du XIXe siècle du Pal. lat. 921. Avec le « Codice Basile » de Palerme, Archivio di Stato, le Ottob. lat. 1346 de Rome, Biblioteca Vaticana et le Pal. lat. 920, le reste de ce feuillet appartient au plus ancien témoin des Getica. Il pourrait constituer une partie d'un manuscrit de Jordanès, dont la présence est attestée à Fulda jusqu'à la fin du XVIe siècle.
En ligne depuis: 13.10.2016
Fragment d'un évangéliaire écrit vers 800. Il contenait les péricopes nécessaires pour toute l'année liturgique. Les parties subsistantes commencent avec la péricope pour le dimanche de la Septuagésime et laissent supposer que, en plus des dimanches et des jours de l'année, figuraient aussi un choix des évangiles pour chaque mercredi et vendredi et, pour la période du Carême – comme dans le missel romain-, pour chaque jour de la semaine. Dans la partie finale, sont regroupés les évangiles pour les messes votives, pour lesquels restent seulement quatre péricopes. L'écriture indique un scriptorium de la Rhétie comme lieu d'origine.
En ligne depuis: 26.09.2017
Fragment d'un exemplaire des homélies de Grégoire le Grand sur les Evangiles, datant des alentours de l'an 800. Deux parties sont conservées : la première qui comprend des passages du texte du chapitre 17 (17.16-17.18), un commentaire de Luc 10, 1-9, ainsi que les vers traitant de l'envoi des 72 disciples. La seconde, contenant des passages du chapitre 18 (18.2-18.3), se réfère à Jean 8.45-59. Ces vers commentent une dispute entre Jésus et “les” juges ainsi que le grand prêtre, où il est question du témoignage, respectivement du témoignage sur l'identité de Jésus, dont les paroles sont réfutées.
En ligne depuis: 26.09.2017
Fragment d'un manuscrit du XIIIe siècle. Il contient des parties de l'hymne Gloria in excelsis Deo et de l'Agnus Dei. Suivent cinq lignes du trope sur le baptême qui commence avec le Quoniam Dominus et se termine par le coaeternum Patri. Le titre Tropi montre clairement que le texte contenait d'autres tropes.
En ligne depuis: 26.09.2017
Fragment manuscrit de l'hymne Gloria in excelsis Deo du XVe siècle. La partie finale [mise]rere nobis. Quoniam tu solus Sanctus, tu solus Dominus, tu solus Altissimus, Iesu Christe, cum Sancto Spiritu: in gloria Dei Patris. Amen a été conservée.
En ligne depuis: 26.09.2017
Fragment d'un cartulaire réalisé vers 800. Les transcriptions, en partie complètes, de sept actes de donation ont été conservées. Diverses personnes offrent, pour le salut de leur âme ou de celle de proches, des terrains aux églises de Saint-Hilaire à Coire et de Saint-Carophorus à Trimmis. Le fait que les deux églises, Saint-Hilaire à Coire et Saint-Carophorus à Trimmis, soient les destinataires des donations rend plausible l'hypothèse que le fragment constituait une partie d'un cartulaire épiscopal.
En ligne depuis: 26.09.2017
Fragment d'un extrait du Lévitique copié vers 800. Il comprend les versets 4.27-6.10, qui contiennent une partie des lois sur les sacrifices (chap. 4-6). La copie, qui correspond à la version de la Vulgate, constitue un témoignage de l'écriture dans l'aire rhétique.
En ligne depuis: 26.09.2017
Fragment d'un extrait du Lévitique avec les versets 15.20-18.6, copié vers 800. Il contient les lois sur la pureté (chap. 15), des prescriptions sur les actes rituels des jours de pénitence (chap. 16), des lois sur la consommation de la viande et sur les pratiques cultuelles qui y sont liées (chap. 17), ainsi que les exigences de Dieu d'observer ces règles, et enfin des prescriptions sur le mariage et la chasteté (chap. 18). La copie, qui correspond à la version de la Vulgate, constitue un témoignage de l'écriture dans l'aire rhétique.
En ligne depuis: 26.09.2017
Fragment de parchemin (1 feuillet) avec un extrait d'un évangéliaire datant de vers 800. Le texte est écrit dans une minuscule rhétique menue. Les titres sont rubriqués et quelques majuscules écrites en rouge. S'y trouve conservé un extrait pour les dimanches de la Septuagésime jusqu'à la Quinquagésime et les dimanches et jours de semaine du premier dimanche de Carême jusqu'au premier dimanche de la Passion.
En ligne depuis: 26.09.2017
Partie d'un feuillet provenant du troisième volume (mai-juin) d'un légendier de Fulda, composé à l'origine de 6 volumes, commandés en 1156 par Rugger, moine au monastère de Frauenberg à Fulda (abbé de Fulda sous le nom de Rugger II de 1176 à 1177). Le fragment contient des parties de la Passio sanctorum Marci et Marcelliani et de la Vita s. Bodardi, que que l'on doit probablement à la main de Eberhard de Fulda. Le légendier fut encore utilisé au milieu du XVIe siècle par Georg Witzel (1501-1573) pour son Hagiologium seu de sanctis ecclesiae (Mayence 1541) et pour son Chorus sanctorum omnium. Zwelff Bücher Historien Aller Heiligen Gottes (Cologne 1554). D'autres fragments du troisième volume se trouvent à Bâle, Soleure et Nuremberg. Ils révèlent que celui-ci, comme au moins le sixième volume (novembre – décembre) du légendier, rejoignit Bâle où les deux volumes furent utilisés comme maculatures aux environs de 1580.
En ligne depuis: 13.06.2019
Ces fragments d'antiphonaires copiés autour de 1136/1140, grattés et corrigés vers 1140/1143, constituent une couverture vide. Ces morceaux de parchemin de formats divers ont sans doute été collés les uns aux autres par les moniales de la Fille-Dieu pour recouvrir un formulaire liturgique aujourd'hui disparu. FiD 2 constitue, avec FiD 1, les reliquats d'antiphonaires comportant la liturgie cistercienne primitive. Celle-ci a été définie par Fr. Kovacs (« Fragments du chant cistercien primitif », ASOC 6 [1950], p. 140–150) et Chr. Waddell (The Primitive Cistercian Breviary, Fribourg, 2007 [Spicilegium Friburgense 44]) comme la liturgie réformée par Étienne Harding peu après 1108. Lors de cette réforme, l'abbé de Cîteaux imposa à l'Ordre d'adopter l'antiphonaire messin. Celui-ci fut en vigueur dans l'Ordre jusqu'à l'époque de la deuxième réforme, confiée à Bernard de Clairvaux. Celle-ci fut achevée au début des années 1140. L'existence d'ébauches bernardines était jusqu'ici connue par l'antiphonaire 12A-B de l'abbaye de Westmalle (Belgique) et par celui de l'abbaye de Tamié 6 (Savoie). Les analyses codicologiques des gardes de FiD 1 et des fragments FiD 2 révèlent que l'ensemble des documents provient du monastère suisse de la Fille-Dieu; ils partagent un statut identique et des caractéristiques communes, quels que soient les lieux actuels de dépôt. S'y décèlent les mêmes premières mains et mains correctrices, les mêmes types d'ornementation et les mêmes retouches tardives réalisées au plus tôt au XVIe siècle vraisemblablement par les moniales ou par les moines de Hautcrêt (Oron, VD) qui fut jusqu'en1536 Père Immédiat de la Fille-Dieu.
En ligne depuis: 22.03.2018
Ce bi-feuillet mutilé écrit en minuscules anglo-saxonnes et carolingiennes représente le seul reste conservé du cartulaire de Thüringen de Fulda. Ce dernier faisait partie d'un cartulaire en huit volumes du monastère de Fulda, ordonné par régions, qui fut constitué dans le second quart du IXème siècle à l'époque de Raban Maur. A côté d'un volume complet dans la Staatsarchiv Marburg (K 424), les autres témoins de l'œuvre complète ne sont conservés que sous forme de fragments dans le Stadtarchiv Leutkirch en Allgäu et dans l'Universitätsbibliothek de Tübingen (Mm I 7).
En ligne depuis: 08.10.2015
La Chanson de la Reine Sebile ou Macaire, une œuvre de la fin du XIIe siècle, appartient à la geste française médiévale, plus précisément à celle qui se rapporte à la « biographie poétique de Charlemagne » : à cause d'un complot manigancé par Macaire, qui est amoureux d'elle, la reine Sebile, l'épouse de Charlemagne, a été injustement accusée d'adultère, répudiée et envoyée en exil, pour être finalement innocentée. Plus de 200 alexandrins de cette chanson de geste sont connus, provenant de cinq fragments qui ne faisaient pas partie du même manuscrit d'origine, respectivement conservés à Bruxelles, Bibliothèque royale de Belgique (ms. II 139, ff. 3r-4r : 2 fragments du XIIIe siècle), à Sheffield, University Library (ms. 137 : 2 fragments du XIIIe siècle), et à Sion, Archives de l'Etat du Valais. Le feuillet de Sion a été découvert et extrait d'une ancienne reliure en 1925 par Leo Meyer, bibliothécaire cantonal et archiviste d'Etat. Il a par la suite été édité par Paul Aebischer (1950) qui le date des environs de 1300. Ce fragment, troué à un endroit, comprend 168 vers, copiés sur deux colonnes, avec pour seul ornement des lettrines peintes en rouge en tête de chaque laisse.
En ligne depuis: 10.12.2020
Feuillet en minuscule caroline contenant un fragment du De institutione musica de Boèce (Liber VI, chap. 18 et Capitula). Il constitue la moitié supérieure du feuillet gauche du fragment R 1.1.10 des Archives d'Etat de Soleure. Il appartient au même manuscrit que les fragments de ces mêmes archives R 1.5.7, R 1.5.8 et R 1.1.11. Il fut probablement employé comme reliure d'un document d'archive du chapitre de la collégiale Skt Leodegar à Schönenwerd.
En ligne depuis: 14.12.2017
Partie inférieure d'un bifolio en minuscule caroline contenant un fragment du De institutione musica de Boèce (Liber VI, chap. 18 et Liber V, Capitula et chap. 2). La moitié supérieure de la partie gauche est constituée du fragment R 1.1.9 des Archives d'Etat de Soleure. Il appartient au même manuscrit que les fragments de ces mêmes archives R 1.5.7, R 1.5.8 et R 1.1.11. Il fut probablement employé comme reliure d'un document d'archive du chapitre de la collégiale Skt Leodegar à Schönenwerd.
En ligne depuis: 14.12.2017
Partie supérieure d'un feuillet en minuscule caroline contenant un fragment du De institutione musica de Boèce (Liber I, Proemium, chap. 2). Il appartient au même manuscrit que les fragments des Archives d'Etat de Soleure R 1.5.7, R 1.5.8, R 1.1.9 et R 1.1.10. Il fut probablement employé comme reliure d'un document d'archive du chapitre de la collégiale de Skt Leodegar à Schönenwerd.
En ligne depuis: 14.12.2017
Bifolio provenant du troisième volume (mai-juin) d'un légendier de Fulda, composé à l'origine de six volumes, et commandé en 1156 par Rugger, prévôt du monastère de Frauenberg à Fulda. Le fragment contient des parties de la vie de Boniface par Otloh de Saint-Emmeram copié par Eberhard de Fulda. Le légendier fut utilisé encore au milieu du XVIe siècle par Georg Witzel (1501-1573) pour son Hagiologium seu de sanctis ecclesiae (Mayence 1541) et pour son Chorus sanctorum omnium. Zwelff Bücher Historien Aller Heiligen Gottes (Cologne 1554). D'autres fragments du troisième volume se trouvent à Bâle et à Nuremberg. Ils révèlent que celui-ci, comme au moins le sixième volume (novembre – décembre) du légendier, rejoignit Bâle où les deux volumes furent utilisés comme maculatures aux environs de 1580. Au folio 1r, dans la panse de l'initiale P est représenté Boniface, et au-dessous de lui le commanditaire du légendier, Rugger.
En ligne depuis: 14.12.2017
Moins de dix témoins de la révision de la Vulgate de Théodulf d'Orléans († 821) nous ont été transmis. Aux Archives cantonales de Soleure et à la Zentralbibliothek de cette même ville sont conservés de nombreux fragments de l'une de ces bibles de Théodulf du IXème siècle provenant de la collégiale Saint-Ours de Soleure, où elle fut réduite en morceaux, durant le XVIème siècle, et utilisée comme matériau pour renforcer les reliures. Réunification virtuelle des fragments : [sine loco], codices restituti, Cod. 3 (Biblia Theodulfi Fragmenta).
En ligne depuis: 19.03.2015
Moins de dix témoins de la révision de la Vulgate de Théodulf d'Orléans († 821) nous ont été transmis. Dans les Archives cantonales de Soleure et dans la Zentralbibliothek de cette même ville, sont conservés de nombreux fragments de l'une de ces bibles de Théodulf du IXème siècle provenant de la collégiale Saint-Ours de Soleure, où elle fut découpée, durant le XVIème siècle, et utilisée comme matériau pour renforcer les reliures. Réunification virtuelle des fragments : [sine loco], codices restituti, Cod. 3 (Biblia Theodulfi Fragmenta).
En ligne depuis: 19.03.2015
Moins de dix témoins de la révision de la Vulgate de Théodulf d'Orléans († 821) nous ont été transmis. Dans les Archives cantonales de Soleure et dans la Zentralbibliothek de cette même ville, sont conservés de nombreux fragments de l'une de ces bibles de Théodulf du IXème siècle provenant de la collégiale Saint-Ours de Soleure, où elle fut découpée, durant le XVIème siècle, et utilisée comme matériau pour renforcer les reliures. Réunification virtuelle des fragments : [sine loco], codices restituti, Cod. 3 (Biblia Theodulfi Fragmenta).
En ligne depuis: 19.03.2015
Moins de dix témoins de la révision de la Vulgate de Théodulf d'Orléans († 821) nous ont été transmis. Dans les Archives cantonales de Soleure et dans la Zentralbibliothek de cette même ville, sont conservés de nombreux fragments de l'une de ces bibles de Théodulf du IXème siècle provenant de la collégiale Saint-Ours de Soleure, où elle fut découpée, durant le XVIème siècle, et utilisée comme matériau pour renforcer les reliures. Réunification virtuelle des fragments : [sine loco], codices restituti, Cod. 3 (Biblia Theodulfi Fragmenta).
En ligne depuis: 19.03.2015
Moins de dix témoins de la révision de la Vulgate de Théodulf d'Orléans († 821) nous ont été transmis. Dans les Archives cantonales de Soleure et dans la Zentralbibliothek de cette même ville, sont conservés de nombreux fragments de l'une de ces bibles de Théodulf du IXème siècle provenant de la collégiale Saint-Ours de Soleure, où elle fut découpée, durant le XVIème siècle, et utilisée comme matériau pour renforcer les reliures. Réunification virtuelle des fragments : [sine loco], codices restituti, Cod. 3 (Biblia Theodulfi Fragmenta).
En ligne depuis: 19.03.2015
L'Urbarium de Salerne de la fin du XIIe siècle recense les propriétés foncières et les devoirs dus à l'église de Salerne. Aujourd'hui, seuls 31 feuillets détachés subsistent du manuscrit d'origine copié en minuscule bénéventaine. L'Urbarium est en grande partie un palimpseste : une copie en minuscule bénéventaine des Etymologies d'Isidore de Séville du Xe siècle.
En ligne depuis: 20.12.2023
Bifolio en minuscule caroline contenant un fragment du De institutione musica de Boèce (Liber I, chap. 18-19, 20). Il appartient au même manuscrit que les fragments des Archives d'Etat de Soleure R 1.5.8, R 1.1.9, R 1.1.10 et R 1.1.11. Le bifolio servait de reliure au Liber fabricae sub littera C avec les comptes de 1522 à 1528 du chapitre de la collégiale Skt. Leodegar à Schönenwerd.
En ligne depuis: 14.12.2017
Bifolio en minuscule caroline contenant un fragment du De institutione muscia de Boèce (Liber I, chap. 23-24 et Liber II, chap. 8). Il appartient au même manuscrit que les fragments des Archives d'Etat de Soleure R 1.5.7, R 1.1.9, R 1.1.10 et R 1.1.11. Le bifolio servait de reliure au Liber Cellae sub littera AA avec les comptes de 1520 du chapitre de la collégiale Skt Leodegar à Schönerwerd.
En ligne depuis: 14.12.2017
Bifolio en parchemin contenant une partie du traité de théorie musicale du IXe siècle, Musica enchiriadis. Longtemps attribué au moine bénédictin Hucbald, il est aujourd'hui considéré comme d'un auteur anonyme. Le bifolio a servi de reliure au Liber Cellae sub littera V avec les comptes de 1526 à 1528 du chapitre de Skt. Leodegar à Schönenwerd.
En ligne depuis: 14.12.2017
Moins de dix témoins de la révision de la Vulgate de Théodulf d'Orléans († 821) nous ont été transmis. Dans les Archives cantonales de Soleure et dans la Zentralbibliothek de cette même ville, sont conservés de nombreux fragments de l'une de ces bibles de Théodulf du IXème siècle provenant de la collégiale Saint-Ours de Soleure, où elle fut découpée, durant le XVIème siècle, et utilisée comme matériau pour renforcer les reliures. Réunification virtuelle des fragments : [sine loco], codices restituti, Cod. 3 (Biblia Theodulfi Fragmenta).
En ligne depuis: 19.03.2015
Moins de dix témoins de la révision de la Vulgate de Théodulf d'Orléans († 821) nous ont été transmis. Dans les Archives cantonales de Soleure et dans la Zentralbibliothek de cette même ville, sont conservés de nombreux fragments de l'une de ces bibles de Théodulf du IXème siècle provenant de la collégiale Saint-Ours de Soleure, où elle fut découpée, durant le XVIème siècle, et utilisée comme matériau pour renforcer les reliures. Réunification virtuelle des fragments : [sine loco], codices restituti, Cod. 3 (Biblia Theodulfi Fragmenta).
En ligne depuis: 19.03.2015
Moins de dix témoins de la révision de la Vulgate de Théodulf d'Orléans († 821) nous ont été transmis. Dans les Archives cantonales de Soleure et dans la Zentralbibliothek de cette même ville, sont conservés de nombreux fragments de l'une de ces bibles de Théodulf du IXème siècle provenant de la collégiale Saint-Ours de Soleure, où elle fut découpée, durant le XVIème siècle, et utilisée comme matériau pour renforcer les reliures. Réunification virtuelle des fragments : [sine loco], codices restituti, Cod. 3 (Biblia Theodulfi Fragmenta).
En ligne depuis: 19.03.2015
Moins de dix témoins de la révision de la Vulgate de Théodulf d'Orléans († 821) nous ont été transmis. Dans les Archives cantonales de Soleure et dans la Zentralbibliothek de cette même ville, sont conservés de nombreux fragments de l'une de ces bibles de Théodulf du IXème siècle provenant de la collégiale Saint-Ours de Soleure, où elle fut découpée, durant le XVIème siècle, et utilisée comme matériau pour renforcer les reliures. Réunification virtuelle des fragments : [sine loco], codices restituti, Cod. 3 (Biblia Theodulfi Fragmenta).
En ligne depuis: 19.03.2015
Moins de dix témoins de la révision de la Vulgate de Théodulf d'Orléans († 821) nous ont été transmis. Dans les Archives cantonales de Soleure et dans la Zentralbibliothek de cette même ville, sont conservés de nombreux fragments de l'une de ces bibles de Théodulf du IXème siècle provenant de la collégiale Saint-Ours de Soleure, où elle fut découpée, durant le XVIème siècle, et utilisée comme matériau pour renforcer les reliures. Réunification virtuelle des fragments : [sine loco], codices restituti, Cod. 3 (Biblia Theodulfi Fragmenta).
En ligne depuis: 19.03.2015
Restes d'une bible d'Alcuin provenant du couvent dominicain de Berne ; vers 1495 ils furent utilisés par le relieur Johannes Vatter comme pages de garde pour divers incunables aujourd'hui à Berne et à Soleure, tout d'abord à la bibliothèque de la collégiale Saint-Ours, puis après sa sécularisation en 1874 à la Bibliothèque cantonale, une des institutions précédent l'actuelle Zentralbibliothek de Soleure. Réunification virtuelle des fragments : [sine loco], codices restituti, Cod. 5 (Biblia latina).
En ligne depuis: 12.12.2019
Moins de dix témoins de la révision de la Vulgate de Théodulf d'Orléans († 821) nous ont été transmis. Dans les Archives cantonales de Soleure et dans la Zentralbibliothek de cette même ville, sont conservés de nombreux fragments de l'une de ces bibles de Théodulf du IXème siècle provenant de la collégiale Saint-Ours de Soleure, où elle fut découpée, durant le XVIème siècle, et utilisée comme matériau pour renforcer les reliures. Réunification virtuelle des fragments : [sine loco], codices restituti, Cod. 3 (Biblia Theodulfi Fragmenta).
En ligne depuis: 19.03.2015
Bifolio intérieur d'un cahier, dont le deuxième bifolio intérieur est conservé à Chicago, Newberry, Library Case MS Fragment 7. Il s'agit des restes d'un manuscrit de Fulda du deuxième tiers du IXe siècle contenant la « Collectio Veronensis » des actes du troisième concile œcuménique d'Ephèse de 431. Le manuscrit a manifestement été utilisé comme maculature à l'époque moderne en Suisse. Il est impossible de savoir quand et comment il trouva le chemin de Fulda vers la Suisse ; toutefois comme d'autres manuscrits de Fulda, il pourrait être arrivé au cours de la première moitié du XVIe siècle comme modèle potentiel de texte pour les imprimeries bâloises. Pour la reconstitution virtuelle des fragments, voir [sine loco], codices restituti, Cod. 6, Concilium Ephesinum.
En ligne depuis: 18.06.2020
Feuillet provenant du quatrième volume (juillet-août) d'un d'un légendier de Fulda, composé à l'origine de 6 volumes, commandés en 1156 par Rugger, moine au monastère de Frauenberg à Fulda (abbé de Fulda sous le nom de Rugger II de 1176 à 1177). Le fragment contient des parties de la Vita s. Amalbergae, que l'on doit probablement à la main de Eberhard de Fulda. Le légendier fut utilisé encore au milieu du XVIe siècle par Georg Witzel (1501-1573) pour son Hagiologium seu de sanctis ecclesiae (Mayence 1541) et pour son Chorus sanctorum omnium. Zwelff Bücher Historien Aller Heiligen Gottes (Cologne 1554). Il s'agit de l'unique fragment documenté du quatrième volume. Les fragments restants du légendier se trouvent à Bâle, Soleure et Nuremberg. Ils proviennent du troisième (mai-juin) et du sixième volume (novembre-décembre) et ils montrent qu'au moins ces volumes-ci arrivèrent un peu plus tard à Bâle, où ils servirent, vers 1580, de maculatures.
En ligne depuis: 13.06.2019
Il s'agit de deux fragments bien conservés d'un Psalterium iuxta Hebraeos, probablement écrit durant le Xème siècle à l'Abbaye de Saint-Gall sur le modèle du Cod. Sang. 19. Les deux fragments ont été tirés du sac d'un messager, en 1963, et sont aujourd'hui conservés dans les archives de la commune d'Urnäsch (Appenzell Rhodes-Extérieures).
En ligne depuis: 08.10.2015
Le fragment en parchemin du Champion des Dames de Martin le Franc (Livre I, v. 3901-v. 4062 + Livre II, v. 4313 – v. 4470) remonte au XVe siècle. Le texte correspond à celui de l'édition Deschaux (1999). Copié soigneusement sur deux colonnes, les différentes strophes du poème sont introduites par des initiales de couleur, alternativement rouge et bleu, et des lettres champies. Le livre II débute par une initiale ornée sur fond or, très abîmée par l'usage de ce fragment au cours du XVIIe comme reliure d'un registre foncier ayant appartenu à Jacques Etienne Clavel, co-seigneur de Marsens, Ropraz et Brenles (fol. 2r).
En ligne depuis: 14.12.2018
Feuillet d'un calendrier – mois de janvier et de février – provenant d'un manuscrit liturgique (psautier? bréviaire?). Le calendrier est inséré dans cadre imitant des arcatures. Pour le mois de janvier figure sur la droite saint Pierre avec les clés et, en haut, dans un médaillon, une activité typique de ce mois: un homme qui se réchauffe devant un feu. Dans le mois de février, apparaît saint Matthieu et, en haut, dans un médaillon, un homme occupé à tailler un arbre pour se procurer du bois. Les traces du pli central révèlent que le feuillet a été utilisé probablement comme couverture d'un livre.
En ligne depuis: 20.12.2016
Fragment provenant du f. 158a verso du graduel de St. Katharinental, extrait au XIXème siècle et dont les enluminures furent vendues séparément. Dans l'initiale A sont représentés le Christ en train de bénir et Jean l'Evangéliste qui appuie sa tête sur ses genoux ; à leurs pieds un dominicain en prière est agenouillé et, dans la frise latérale, une dominicaine. Au-dessous de l'initiale (aujourd'hui à Zurich, Musée national suisse, LM 29329.2), il y avait un cadre dans lequel est peinte la Vierge de l'Apocalypse accompagnée de Jean l'Evangéliste, tandis que, sous deux arcades, deux dominicaines agenouillées prient. A l'origine figurait aussi sur le même folio une initiale V (aujourd'hui, à Vienne, Graphische Sammlung Albertina, Inv. Nr. 32434) avec une représentation très élaborée de la Maiestas Domini et du Jugement dernier. Le fragment appartient à la Confédération suisse, à la Fondation Gottfried Keller et au canton de Thurgovie.
En ligne depuis: 22.03.2017
Fragment provenant du f. 158a verso du graduel de St. Katharinental, qui a été extrait au XIXème siècle et dont les enluminures furent vendues séparément. Il représente la Vierge de l'Apocalypse accompagnée de Jean l'Evangéliste, tandis que sous deux arcades, deux dominicaines agenouillées prient. Le cadre était placé sous une initiale A (aujourd'hui à Zurich, Musée national suisse, LM 29329.1) dans laquelle figuraient le Christ en train de bénir et Jean l'Evangéliste qui appuie sa tête sur ses genoux ; à leurs pieds un dominicain en prière est agenouillé et, dans la frise latérale, une dominicaine. A l'origine figurait aussi sur le même folio une initiale V (aujourd'hui, à Vienne, Graphische Sammlung Albertina, Inv. Nr. 32434) avec une représentation très élaborée de la Maiestas Domini et du Jugement dernier. Le fragment appartient à la Confédération suisse, à la Fondation Gottfried Keller et au canton de Thurgovie.
En ligne depuis: 22.03.2017
Fragment avec une représentation de la crucifixion provenant d'une initiale I, composée de plusieurs médaillons, qui décorait le f. 87a du graduel de St. Katharinental. Au XIXème siècle, le folio fut extrait du graduel et les médaillons furent vendus séparément. Des 9 ou 10 médaillons qui constituaient à l'origine le corps de la lettre I, sont connus aujourd'hui, en plus de celui-ci, l'un avec la cène (Zurich, Musée national suisse, Inv. LM 71410), la capture du Christ (Nürenberg, Germanisches Nationalmuseum Museum, Inv. Mm. 34 kl), le Christ devant Pilate (Zurich, Musée national suisse, LM 55087), le couronnement d'épines (Frankfurt am Main, Städelsches Kunstinstitut, Inv. Nr. 15932), le transport de la croix (Frankfurt am Main, Städelsches Kunstinstitut, Inv. Nr. 14312) et la déposition de Jésus (Frankfurt am Main, Städelsches Kunstinstitut, Inv. Nr. 15933). Le fragment appartient à la Confédération suisse, à la Fondation Gottfried Keller et au canton de Thurgovie.
En ligne depuis: 22.03.2017
Il s'agit de l'un des six feuillets en parchemin provenant d'un Livre d'Heures, écrit en bâtarde et datable de la seconde moitié du XVème siècle. Il présente des initiales enluminées en or sur fond bleu ou rose en alternance, desquelles partent des rinceaux dessinés à la plume dans la marge et agrémentés de feuilles trifoliées. Un des fragments (nr. 5) contient une partie des litanies des saints.
En ligne depuis: 23.06.2016
Il s'agit de l'un des six feuillets en parchemin provenant d'un Livre d'Heures, écrit en bâtarde et datable de la seconde moitié du XVème siècle. Il présente des initiales enluminées en or sur fond bleu ou rose en alternance, desquelles partent des rinceaux dessinés à la plume dans la marge et agrémentés de feuilles trifoliées. Un des fragments (nr. 5) contient une partie des litanies des saints.
En ligne depuis: 23.06.2016
Il s'agit de l'un des six feuillets en parchemin provenant d'un Livre d'Heures, écrit en bâtarde et datable de la seconde moitié du XVème siècle. Il présente des initiales enluminées en or sur fond bleu ou rose en alternance, desquelles partent des rinceaux dessinés à la plume dans la marge et agrémentés de feuilles trifoliées. Un des fragments (nr. 5) contient une partie des litanies des saints.
En ligne depuis: 23.06.2016
Il s'agit de l'un des six feuillets en parchemin provenant d'un Livre d'Heures, écrit en bâtarde et datable de la seconde moitié du XVème siècle. Il présente des initiales enluminées en or sur fond bleu ou rose en alternance, desquelles partent des rinceaux dessinés à la plume dans la marge et agrémentés de feuilles trifoliées. Un des fragments (nr. 5) contient une partie des litanies des saints.
En ligne depuis: 23.06.2016
Il s'agit de l'un des six feuillets en parchemin provenant d'un Livre d'Heures, écrit en bâtarde et datable de la seconde moitié du XVème siècle. Il présente des initiales enluminées en or sur fond bleu ou rose en alternance, desquelles partent des rinceaux dessinés à la plume dans la marge et agrémentés de feuilles trifoliées. Ce fragment contient une partie des litanies des saints.
En ligne depuis: 23.06.2016
Il s'agit de l'un des six feuillets en parchemin provenant d'un Livre d'Heures, écrit en bâtarde et datable de la seconde moitié du XVème siècle. Il présente des initiales enluminées en or sur fond bleu ou rose en alternance, desquelles partent des rinceaux dessinés à la plume dans la marge et agrémentés de feuilles trifoliées. Un des fragments (nr. 5) contient une partie des litanies des saints.
En ligne depuis: 23.06.2016
Fragment en parchemin provenant d'un Livre d'Heures d'origine française et contenant une partie de l'office de la Vierge Marie.
En ligne depuis: 23.06.2016
Feuillet d'un calendrier (mois de janvier divisé sur deux pages) provenant d'un manuscrit liturgique de petit format, probablement un bréviaire. La présence dans le calendrier pour la date du 11 janvier de la fête obitus Tercii regis. Duplex, qui rappelle les trois rois mages, laisse penser que le calendrier était en usage dans le diocèse de Cologne. La décoration s'inspire de l'enluminure italienne (padouane et ferraraise) en usage dans la seconde moitié du XVème siècle.
En ligne depuis: 23.06.2016
Fragment avec la représentation du Christ devant Pilate provenant d'une initiale I, composée de plusieurs médaillons, qui décorait le f. 87a du graduel de St. Katharinental. Au XIXème siècle, le folio fut extrait du graduel et les médaillons furent vendus séparément. Des 9 ou 10 médaillons qui constituaient à l'origine le corps de la lettre I, sont connus aujourd'hui, en plus de celui-ci, l'un avec la cène (Zurich, Musée national suisse, LM 71410), la capture du Christ (Nürenberg, Germanisches Nationalmuseum Museum, Inv. Mm. 34 kl), le couronnement d'épines (Frankfurt am Main, Städelsches Kunstinstitut, Inv. Nr. 15932), le transport de la croix (Frankfurt am Main, Städelsches Kunstinstitut, Inv. Nr. 14312), la crucifixion (Zurich, Musée national suisse, LM 45751) et la déposition de Jésus (Frankfurt am Main, Städelsches Kunstinstitut, Inv. Nr. 15933). Le fragment appartient à la Confédération suisse, à la Fondation Gottfried Keller et au canton de Thurgovie.
En ligne depuis: 22.03.2017
Fragment avec la représentation de la cène provenant d'une initiale I, composée de plusieurs médaillons, qui décorait le f. 87a du graduel de St. Katharinental. Au XIXème siècle, le folio fut extrait du graduel et les médaillons furent vendus séparément. Des 9 ou 10 médaillons qui constituaient à l'origine le corps de la lettre I, sont connus aujourd'hui, en plus de celui-ci, l'un avec la capture du Christ (Nürenberg, Germanisches Nationalmuseum Museum, Inv. Mm. 34 kl), le Christ devant Pilate (Zurich, Musée national suisse, LM 55087), le couronnement d'épines (Frankfurt am Main, Städelsches Kunstinstitut, Inv. Nr. 15932), le transport de la croix (Frankfurt am Main, Städelsches Kunstinstitut, Inv. Nr. 14312), la crucifixion (Zurich, Musée national suisse, LM 45751) et la déposition de Jésus (Frankfurt am Main, Städelsches Kunstinstitut, Inv. Nr. 15933). Le fragment appartient à la Confédération suisse, à la Fondation Gottfried Keller et au canton de Thurgovie.
En ligne depuis: 22.03.2017